Dans quelle mesure recommanderiez vous ce nouveau site internet à un proche/collègue ?
Évaluation échelle de Braden
étape 0/6
Échelle de Braden
"L’échelle de Braden est une méthode d’évaluation du risque d’escarre validée qui prend en considération les facteurs tels que la perception sensorielle, l’humidité, l’activité, la mobilité, la nutrition, la friction et le cisaillement, responsables de la survenue d’une escarre."
Réalisez simplement et en quelques clics l’évaluation du niveau de risque de votre patient suivant l’échelle de Braden
Capacité à répondre de manière adaptée à l’inconfort provoqué par la pression
sélectionnez votre réponse :
1
Complètement limitée
2
Très limitée
3
Légèrement diminuée
4
Aucune atteinte
Aucune réaction (plainte, action) à la douleur, due à une diminution de la conscience
ou aux effets de sédatifs.
Ou incapacité à sentir la douleur presque sur toute la surface du corps
Répond seulement à la douleur. Ne peut communiquer son inconfort excepté par des plaintes ou de l’agitation.
Ou altération de la sensibilité qui limite la capacité à sentir la douleur ou l’inconfort sur la moitié du corps
Répond aux commandes verbales, mais ne peut pas toujours communiquer son inconfort ou son besoin d’être tourné.
Ou a une sensibilité diminuée qui limite sa capacité à sentir la douleur ou l’inconfort à l’un des deux membres inférieurs
ou aux deux
Répond aux commandes verbales. N’a aucun déficit sensoriel qui limite sa capacité à sentir et à exprimer sa douleur et son inconfort
La peau est presque continuellement en contact avec la transpiration, l’urine, etc.
L’humidité de la peau est observée à chaque fois que le patient est tourné ou mobilisé.
La peau est souvent mais pas toujours humide.
La literie doit être changée au moins une fois par équipe.
La peau est occasionnellement humide, un changement de la literie est nécessaire environ une fois par jour
La peau est généralement sèche, la literie est changée selon les habitudes de l’équipe.
Capacité à changer et à contrôler la position du corps
sélectionnez votre réponse :
1
Complètement immobile
2
Très limitée
3
Légèrement limitée
4
Aucune limitation
Ne peut effectuer le moindre changement de position du corps ou de ses extrémités sans aide.
Effectue occasionnellement de légers changements de position du corps et de ses extrémités mais incapacité à effectuer
de manière autonome de fréquents et importants changements de position
Effectue seul de fréquents petits changements de position du corps et de ses extrémités.
Effectue des changements de position majeurs et fréquents sans aide.
Ne mange jamais un repas complet. Mange rarement plus du tiers des aliments proposés. Mange 2 rations de protéines ou
moins par jour (viande ou produits laitiers). Boit peu. Ne prend pas de suppléments alimentaires liquides.
Ou est à jeun et/ou est hydraté par voie orale ou intraveineuse depuis plus de cinq jours.
Mange rarement un repas complet et mange en général seulement la moitié des aliments proposés. Mange seulement 3
rations de protéine par jour (viande ou produits laitiers). Peut prendre occasionnellement un supplément diététique.
Ou reçoit moins que la quantité optimale requise par un régime liquide ou par sonde
Mange plus de la moitié des repas. Mange 4 rations de protéines (viande, produits laitiers) par jour.
Refuse occasionnellement un repas, mais généralement prend un supplément alimentaire s’il est proposé.
Ou est alimenté par sonde ou nutrition parentérale, adaptée à la plupart de ses besoins nutritionnels.
Mange presque la totalité de chaque repas. Ne refuse jamais un repas. Prend habituellement au moins quatre rations de
viandeou de produits laitiers par jour. Mange occasionnellement entre les repas.Ne requiert aucun supplémentalimentaire
Requiert une assistance modérée à complète pour se mobiliser. Se relever complètement dans le lit sans glisser sur les draps
est impossible. Glisse fréquemment dans le lit ou le fauteuil, nécessitant de fréquents repositionnements avec un maximum
d’aide. Spasticité, contractures, ou agitation provoquent presque constamment des frictions.
Se mobilise difficilement ou requiert un minimum d’aide pour le faire. Durant le transfert, la peau glisse contre les draps, la chaise, les contentions ou autres appareillages. Garde la plupart du temps une relative bonne position au fauteuil ou au lit, mais glisse occasionnellement vers le bas.
Se mobilise seul au lit et au fauteuil et a suffisamment de force musculaire pour se soulever complètement durant le transfert. Garde en tout temps une bonne position au lit et au fauteuil.
L'évaluation doit être associé au jugement clinique et le jugement clinique prévaut toujours sur l’échelle. L'échelle est quantifiée à l'entrée de la personne en établissement et doit être révisée chaque fois qu'un évènement, relatif à l'évolution de la pathologie ou à l'état général de la personne, engendre des modifications en matière de prévention.
Risque faible à moyen
Patient alité de 10 à 15 heures, qui se
mobilise seul avec difficultés sans trouble
neurologique important, sans artériopathie,
état général bon à moyen.
L'évaluation doit être associé au jugement clinique et le jugement clinique prévaut toujours sur l’échelle. L'échelle est quantifiée à l'entrée de la personne en établissement et doit être révisée chaque fois qu'un évènement, relatif à l'évolution de la pathologie ou à l'état général de la personne, engendre des modifications en matière de prévention.
Risque moyen à élevé
Patient levé dans la journée, alité plus de 15
heures.
L'évaluation doit être associé au jugement clinique et le jugement clinique prévaut toujours sur l’échelle. L'échelle est quantifiée à l'entrée de la personne en établissement et doit être révisée chaque fois qu'un évènement, relatif à l'évolution de la pathologie ou à l'état général de la personne, engendre des modifications en matière de prévention.
Risque élevé
Patient non levé dans la journée, état général mauvais et/ou ayant une artériopathie et/ou un trouble neurologique sévère
récent.
L'évaluation doit être associé au jugement clinique et le jugement clinique prévaut toujours sur l’échelle. L'échelle est quantifiée à l'entrée de la personne en établissement et doit être révisée chaque fois qu'un évènement, relatif à l'évolution de la pathologie ou à l'état général de la personne, engendre des modifications en matière de prévention.